Questions les plus fréquement posées
Aucune ! Toutes les pathologies prises en charge par la NGAP sont éligibles à l’Accès Direct.
Oui, depuis 2023, l’avenant 7 permet aux kinésithérapeutes en MSP de pratiquer l’Accès Direct sans passer par l’expérimentation CPTS.
La prise en charge Accès Direct se limite à 8 séances maximum lorsqu’il n’y a pas de diagnostic préalable. Au-delà, une prescription est nécessaire. Si diagnostic préalable, le nombre de séances est à l’appréciation du kiné selon les recommandations de bonnes pratiques professionnelles.
Il n’existe aucun document obligatoire à saisir dans SCOR. Si le logiciel bloque la procédure, une feuille blanche mentionnant « Accès Direct » suffit pour remplacer l’ordonnance qui n’existe pas.
Si votre patient n’a pas de DMP ni de médecin traitant lors d’une prise en charge Accès Direct, il faut lui remettre le bilan et le compte rendu des séances effectuées et conserver une copie.
Oui, si le patient dispose d’un DMP actif. Sinon, il faut transmettre le bilan au médecin traitant et au patient via MonSisra ou par courrier.
Non, aucune revalorisation n’est prévue dans le cadre de l’Accès Direct. Les tarifs restent ceux de la NGAP.
Dans le cadre d’une prise en charge Accès Direct, il suffit d’utiliser la cotation NGAP habituelle. Il faut indiquer votre numéro Adeli dans la case « prescripteur ». Si le logiciel bloque lors de la télétransmission, scannez une feuille mentionnant « Accès Direct » à la place de l’ordonnance.
Pour communiquer auprès de vos patients sur la prise en charge Accès Direct, l’URPS MK ARA met à votre disposition une affiche spécifique. Il existe une version dédiée à l’expérimentation en CPTS et une pour les kinés éligibles en MSP. Vous pouvez retrouver ces affiches dans notre boite à outils, directement sur notre site. Les affiches sont également accessible au format papier, sur commande.
Non, en revanche, il est conseillé de se tenir informé via les recommandations HAS et les bonnes pratiques professionnelles.